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Archives de catégorie Vie de la MEL

ParCGT MEL

Le 25 novembre, dites STOP aux violences sexistes et sexuelles !

Le 25 novembre, dites STOP aux violences sexistes et sexuelles !

Venez à notre rencontre à la MEL !

 

A l’occasion de la prochaine Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes qui a lieu tous les 25 novembre, notre collectif « Femmes – Egalités » vient à la rencontre des agents et agentes de la MEL.

 

Les camarades du collectif s’engagent dans une démarche d’information et de sensibilisation des agents.

 

Vous pourrez les retrouver sur leur stand le jeudi 25 novembre de 12 heures à 14 heures sur la place du village (2ème étage de biotope).

 

Vos ressentis, vos interrogations, votre détermination à vouloir que cela change et à le faire sont bienvenus !  

 

Venez les partager autour du stand et des animations, arrêtez-vous un instant devant nos posters, et prenez le temps de répondre à notre sondage sur le dispositif interne de signalement voté par le conseil de la Métropole le 18 décembre 2020, lequel vise à prévenir tout acte de violence, de harcèlement, de discrimination et tout agissement sexiste.

 

 

Vous y trouverez notamment l’ensemble des numéros d’urgence à composer, le dispositif MEL dans cette lutte contre les violences mais également une enquête ouverte à tous, hommes ou femmes.

 

N’hésitez pas à participer à ce sondage portant sur la nécessité de créer une cellule d’écoute pour les victimes de violences.

 

Au plaisir de vous y retrouver !

 

 

ParCGT MEL

Augmentation du temps de travail à la MEL : faible mobilisation des cadres ou l’écran de fumée des RTT

 

Augmentation du temps de travail à la MEL

La faible mobilisation des cadres ou l’écran de fumée des RTT.

 

L’ex Communauté urbaine de Lille devenue Métropole européenne de Lille avec la loi MAPTAM, a été avec Pierre Mauroy, la première collectivité à mettre en place les 35 heures en 1984.

C’est aussi la collectivité qui fut présidée par Martine Aubry entre 2008 à 2014, dont le nom est bien sûr associé aux 35h.

Pourtant, la MEL a décidé d’avoir une lecture très stricte et très libérale de l’article 47 de la loi dite de transformation de la Fonction publique. Dans les faits, les négociations ont tourné court. On allait nous couper la main, et on avait le droit de choisir par quel doigt on souhaitait commencer.

La CGT, syndicat majoritaire avait pourtant tenté de contrer la suppression de  notre régime dérogatoire de 1533H, en proposant de faire reconnaître les sujétions particulières. Pour les cadres notamment, la pénibilité pouvait légitimement être invoquée depuis le déménagement dans un nouveau siège, le Biotope, organisé en open space. Le bruit, des surfaces de travail d’à peine 5m² par personne, le stress par exemple sont le quotidien des cadres désormais qui payent cher dans leurs conditions de travail l’image d’une Métropole 3.0 fièrement inscrite dans la start up nation.

 

 

La CGT a demandé également à l’occasion de ces « négociations » que la question du temps de travail soit appréhendée dans sa globalité, c’est a à dire en reposant sur la table le dossier télétravail, le travail au gris, et la mise en place d’un droit effectif et opposable à la déconnexion.

L’ensemble de ces sujets a été balayé d’un revers de main de fer sans gant de velours. La CGT  a quitté les « négociations » et tenté de faire entendre ses revendications par la mobilisation.

Cette mobilisation n’a pas eu l’effet escompté notamment dans le contexte sanitaire qui limitait très largement la présence sur site des collègues. Mais la quasi absence de réactivité des cadres se trouvent ailleurs. En effet, jusque-là, quel que soit leur temps de travail effectif, à la MEL ou à domicile, les heures supplémentaires n’étaient non seulement pas rémunérées, mais n’ouvraient droit qu’à douze jours maximum de récupération. Pour beaucoup, ces douze jours de travail supplémentaires étaient réalisés en quelques mois, le reste des heures supplémentaires dégagées ensuite devenaient du travail au gris, c’est-à-dire du travail effectif mais hors cadre légal et non rémunéré.

Or, avec la mise en place des 1607H, le Président Castelain supprimait dix jours de congés par ans, en plus des congés d’ancienneté et de la demi- journée de noël pour les agents en charge d’enfants. Mais il proposait sournoisement en contrepartie un choix entre trois cycles possible : 35 h, 37, 5 H et 12 RTT, 39H et 23 jours.

Vu ainsi, les cadres ont eu le sentiment d’une aubaine qui leur permettait de récupérer deux fois plus de jours qu’avec l’ancien système, oubliant trop vite les jours de congés sacrifiés et la volatilité des RTT ;

Pourtant la CGT portait haut les revendications d’un droit à la deconnexion, de la charge de travail nécessitant un débat sur les effectif, la question des rémunération totalement déconnectée des gains de productivité chez les cadres, ou la prise en compte de la pénibilité dans un environnement de travail largement dégradé,  afin que la question du temps de travail ne soit pas circonscrite à de simples modalités organisationnelles.

Mais si certains cadres ne sont toujours pas résignés, beaucoup ont déjà intériorisé les pseudo valeurs inculquées au sein du « campus MEL management » ou des clinquants et coûteux séminaires  servant au système de menaces-sanctions et récompenses déployé par le new public management.

 

 

 

Bien éloigné d’un statut qui conférait jusqu’ici des droits et des devoirs, ils sont devenus eux-mêmes les instruments de leur propre aliénation, considérant l’inadmissible comme acceptable, et voyant dans l’appartenance à la « communauté des managers » l’ultime reconnaissance de leur épanouissement professionnel et personnel confondus .

Il y aura donc matière à l’occasion de la campagne des élections professionnelles qui s’ouvre de susciter le débat et de tenter de déconstruire leur propre représentation du rôle d’un cadre.

Frédéric PARISOT

Secrétaire général CGT MEL

ParCGT MEL

Pour un CAS solidaire : Communiqué commun CGT – Autonomes

Pour un CAS solidaire

Communiqué commun CGT – Autonomes

Les syndicats Autonomes et CGT MEL ont décidé de présenter une liste commune lors des prochaines élections au Conseil d’administration du CAS, prévues pour mars 2022.

Nos élu.es ont travaillé en bonne intelligence durant ce mandat, dans un esprit d’écoute mutuelle. C’est pourquoi, il nous apparaît naturel de continuer à travailler ensemble.

Durant le mandat 2018-2022, nous avons amélioré les prestations existantes du Comité et proposé des prestations nouvelles aux agents de la MEL et à leurs familles.

Nous avons amélioré la communication du CAS, à travers les InfoCAS, les newsletters et le nouveau site Internet du CAS. Vous pouvez désormais vous inscrire en ligne pour les chèques vacances, pour le noël des enfants, pour les excursions du CAS.

Nous avons revalorisé de manière significative la participation du CAS aux chèques-vacances, et mis en place le remboursement vacances hors partenaires.

Nous avons rapproché le CAS des sites externes, avec la relance des permanences physiques.

Nous avons renforcé l’offre de billetterie, de locations estivales, d’excursions, et mis en place la gratuité des conférences et visites culturelles du CAS (« les midis, c’est gratuit »).

Nous avons revalorisé plusieurs prestations : Pass Culture, Chèques-Lire, primes médaillés et retraités, secours et prêts sociaux.

Nous vous avons accompagnés durant la crise sanitaire et garanti, autant que possible, la continuité des prestations du CAS.

Bref, nous avons tenu nos engagements de campagne et comptons partir ensemble pour les prochaines élections !

 

 

Nos priorités pour le mandat à venir :

– Relancer les activités des commissions perturbées par la crise sanitaire et proposer de nouvelles activités (excursions, activités culturelles, sportives,…)

– Renforcer la proximité du CAS avec ses usager.es, en poursuivant le projet de CAS connecté et en maintenant une présence humaine sur Biotope et les sites extérieurs ;

– Poursuivre la revalorisation des chèques-vacances, et poursuivre l’amélioration du remboursement vacances ;

– Renforcer et diversifier l’offre de locations estivales du CAS.