A Martigues avec la CGT MEL :
« les cadres organisé-e-s, à l’offensive »
POUR UNE CLARIFICATION DES REGLES. Il y a un sentiment d’arbitraire lié à la pratique du télétravail. Selon les équipes, les unités fonctionnelles et les services qui exercent des tâches pourtant analogues et éligibles au télétravail, les règles varient. La CGT Mel demande la mise ne place d’une commission paritaire permanente qui serait amenée à se prononcer sur de telles situations collectives ou individuelles. Elle a proposé de passer d’une logique d’emploi à une logique de tâche pour étendre le bénéfice du télétravail à un plus grand nombre d’agents. Enfin elle demande que les encadrants soient mieux formés pour accompagner la pratique du télétravail.
POUR LA CREATION D’UNE DOTATION TELETRAVAIL ET UNE INDEMNITÉ DE TÉLÉTRAVAIL à 250 EUROS/AN. Pour que les agents télétravaillent dans les meilleures conditions sans avoir à financer eux-même leurs outils de travail. Cette dotation pourra prendre la forme d’une mise à disposition d’équipements complémentaires ou un financement par la MEL.
POUR LE RESPECT DE L’ÉQUILIBRE VIE PROFESSIONNELLE ET VIE PRIVÉE. Avec le télétravail, les agents ont intériorisé un devoir de disponibilité qui va bien au-delà de ce que l’employeur est en droit de réclamer. Le télétravail fait de la maison un lieu disponible pour le travail. La généralisation du télétravail accroît le temps de travail. Nous demandons un droit à la déconnexion effectif.
POUR UN TROISIÈME JOUR DE TÉLÉTRAVAIL HEBDOMADAIRE pour les agents qui le souhaitent comme cela se pratique déjà dans de nombreuses administrations.